"J'ai tissé mes tristesse une à une
En funambule, j'ai crié ma détresse
A coeur en équilibre,
Et vêtue de mon oeuvre.
Mais, ne vois-tu pas ces ombres
Qui tournoient,
Sans égards pour mon monde ?"
Et moi, j'ai ri, parce que je sais que...
Je te surmonterais, Ange. Je t'oublierais.
Arbanville
Desiderium
Vendredi 16 juillet 2010 à 20:29
Ajouter un commentaire
La discussion continue ailleurs...
Pour faire un rétrolien sur cet article :
http://arbanville.cowblog.fr/trackback/3019191